En 2015, dans un rapport intitulé « Hungry Robo-Advisors Are Eyeing Wealth Management Assets », les « Robo-advisors » étaient présentés comme source de rupture (« disruptors ») capables de détruire l'industrie de la gestion de patrimoine.
Nous avions alors pris le contre-pied cette thèse, affirmant que les institutions financières disposant d’un rempart concurrentiel solide (telles que Charles Schwab ou Morgan Stanley aux Etats-Unis), conserveraient leur position et que « la légion actuelle de robo-advisors devrait investir massivement dans la publicité ou participer à une vague de consolidation pour gagner en taille, être rachetés ou s'associer à des sociétés de gestion bien établies, ou bien disparaître. »