Il y a un an, l’un des gérants les plus respectés de l’industrie aux Etats-Unis affirmait : « les prix des actifs sont élevés », soulignant combien il est difficile aujourd’hui pour un investisseur d’atteindre ses objectifs financiers et pour un gérant de trouver des opportunités s’il ne raisonne qu’en termes de valorisation absolus.
La sortie des politiques monétaires ultra-accommodantes des banques centrales se fait toujours attendre.
Dix ans après le début de la crise financière, et neuf ans depuis la mise en place du « Quantitative Easing » aux Etats-Unis, puis au Japon (2012) et en Europe (2014-15), l’environnement macro-économique est toujours inégal : d’un côté, l’activité économique semble s’être bien reprise, et ce un peu partout dans le monde, mais d’un autre côté, l’inflation manque à l’appel.