Dans un environnement de marché où les opportunités de rendement sont de plus en plus rares, où les valorisations sont chères presque partout et où la volatilité des marchés financiers peut à tout moment remonter, la protection du capital doit primer.
Mais pour de nombreux investisseurs, notamment institutionnels, la problématique de génération d’un niveau de rendement adéquat demeure.
L’environnement de remontée des taux d’intérêt engagé depuis l’été 2016 est annonciateur d’une reprise de l’économie mondiale. Cette bonne nouvelle est à double tranchant. Pour les catégories obligataires les moins risquées (obligations souveraines, crédit « investment grade » et obligations à duration longue), le rebond des taux s’est traduit par des pertes en capital (cf tableau).