EDF a annoncé des résultats en croissance au cours du premier semestre 2014, la
performance de ses centrales nucléaires en France et en Grande-Bretagne lui ayant permis de compenser la météo défavorable du premier trimestre.
L'électricien a réitéré son objectif d'un résultat brut d'exploitation (Ebitda) en croissance organique d'au moins 3% en excluant sa filiale italienne Edison en 2014.
Il vise en outre un flux de trésorerie (cash-flow) positif en 2018 après dividendes et en excluant le projet de compteur électrique "intelligent" Linky.
Sur les six premiers mois de l'année, EDF a enregistré au premier semestre un résultat net de 3,12 milliards d'euros, en hausse de 8,3%.
Le chiffre d'affaires a diminué de 3,8% et de 4,2% en organique à 36,13 milliards d'euros. L'EBITDA s'est amélioré de 3,1% (+2,8% en organique), à 9,61 milliards d'euros.
Sur l'ensemble de l'année, le groupe vise toujours pour 2014 un montant d'investissements nets compris entre 13 et 13,5 milliards d'euros.