Dans votre dernière lettre, vous mettez en avant une vue « contrariante » sur les actions. Pourquoi ?
« Notre conviction est que nous sommes au début d’une reprise cyclique en Europe, ce qui est un élément favorable pour les actions européennes. Ces dernières sont de surcroît encore faiblement valorisées et sous-représentées dans les portefeuilles des investisseurs.
Deux éléments ont pesé sur la classe d’actifs : les difficultés de la construction européenne – mises en exergue par la crise de la zone euro de 2010-2011 – et la situation macro-économique. Ces problèmes sont maintenant derrière nous.
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